vous croyiez aux coincidences ? [PV Neftys]

**marc antoine cassisus** Messages : 80 Date d'inscription : 22/11/2009

Antoine était sur le pont, l'après-midi touchait à sa fin et accoudé à la rembarde il regardait le soleil se coucher sur la mer, il venait ici tous les soirs pour regarder le coucher de soleil et il n'arrivait pas à s'en lasser, il semblait qu'aucun ne se ressemblaient, tous différents et plus beaux les uns que les autres. Devant cette beauté féerique il se mis soudainement à penser à Rome et à ses parents restés là-bas, sa mère devait être morte d'inquiétude et son père devait remuer ciel et terre pour le retrouver, il regrettait d'être parti comme ça mais il avait de plus en plus de mal à supporter d'être ainsi etouffer, il voulait vivre sa vie, il voulait partir loin.

Il soupira est alla s'asseoir sur une chaise en plastique, il ferma un moment les yeux, savourant le silence et la quiétude de la nuit qui l'enveloppait doucement. Derrière ses paupières closes un visage, un seul se dessina, il ne l'avait vu qu'une seule fois et pourtant il se souvenait de ses adorables traits dans les moindres détails, cette rencontre l'avait fait doucement rire, il se nommait Marc Antoine, peu commun, et voilà qu'il rencontrait une fille dont le deuxième prénom était Cléopâtre, devait-il en rire ou en pleurer? Il ne pouvait s'agir que d'une coincidence mais il faut avouer que cela ne devait pas se produire souvent. La nuit qui avait suivit cette rencontre avait été agitée, il ne savait pas quoi en penser et encore moins quoi faire, il n'avait cessé de se demander comment il devrait réagir si jamais il devait la revoir, cette idée l'enchantait autant qu'elle le terrifiait. Etait-ce une simple coincidence ou le passé était-il amené à se répéter ?

Il fut tirer de ses rêveries par une douce musique qui lui chatouilla les oreilles, il se releva et tendit l'oreille, se demandant d'où cela pouvait bien provenir, piqué par la curiosité et ressentant le besoin de penser à autre chose il se leva et suivit la musique. C'est ainsi qu'il arriva au salon, les confortables fauteuils étaient disposés face à une espèce de scène, certaines personnes avaient suivit le même instinct que lui et étaient arrivées ici. Il se créa un passage dans les rangées, cherchant un fauteuil libre et se mit à écouter la musique, d'ordinaire ce n'était pas ce qu'il écoutait principalement, mais ce soir là il était prêt à écouter n'importe quoi pour se la sortir de la tête.

Il su que cette tentative était vaine quand il tourna la tête vers la porte et qu'il la vit entrer, leurs regards se fixèrent et leurs yeux s'accrochèrent l'un à l'autre, il ne pouvait tourner la tête, totalement hypnotisé par la jeune femme. Il se demanda soudain ce qui pouvait bien se passer dans sa tête et dans son coeur à ce moment là, aurait-il seulement un jour la réponse ? Il la regarda prendre place dans un fauteuil libre à quelques pas de lui, il savait que c'était malpoli de la fixer ainsi mais il ne pouvait s'en empêcher. Il aurait pu dire n'importe quoi pour se défiler, mais il était clair que cette fille l'avait littéralement envoûté, il se demanda soudain ce qu'avait ressenti le premier Marc Antoine la première fois qu'il avait vu Cléopâtre.

**Neftys C. César** Messages : 228 Date d'inscription : 08/11/2009

Nephtys était d'une humeur massacrante ce matin là. Elle renvoyait paitre tout le monde et personne ne pouvait s'approcher d'elle sans qu'elle ne veuille mordre. Pourquoi cet état ? Elle n'en savait que trop bien la raison. La veille, elle avait trouvé une lettre au fond de son sac. Rien de bien méchant me direz vous mais le soucis c'était qu'il s'agissait d'une lettre qu'elle était persuadée d'avoir jeter par dessus bord à son arrivé et pourtant elle était encore là. Il faut aussi avouer que la reine étaut plutôt tétue et se refusait à croire qu'elle avait omis de la jeter, enfin...

Une fois sa colère passée et après avoir cassé pas mal de vase dans sa chambre, elle en sortit en trombe. Elle alla sur le pont et cette fois ci la jetta en millier de morceaux à la mer. Elle se mit à sourire. Elle rejetta son regard au loin sur l'eau regardant le coucher du soleil qui pointé le bout de son nez. Les couchers de soleil rappelait à la belle leCaire et Alexandrie. Par Horus comme l'Egypte lui manquait. Là bas elle n'avait jamais eut de soucis pas de petits amis ou de garçons qui lui courraient après. Pas de Marc-Antoine.... La jeune Egyptienne ouvrit de grands yeux. Marc Antoine... Pourquoi ce nom ne céssait de revenir à son esprit. D'accord il y avait bien quelqu'un qui s'appelait comme cela sur le bateau mais elle se devait de l'éviter pour ne pas tomber sous son charme et pour ne pas répéter les erreurs de son ailleul.

Puis soudain elle entendit des bruits de pas et le vit passé. Non Neftys ne devait pas le suivre... Cependant Cléopâtre prit l'ascendant sur la jolie Neftys et elle se leva pour le suivre. Quand elle vit qu'il allait au salon, elle se précipita vers sa chambre. Elle voulu se jurer de ne pas en sortir mais c 'était peine perdue. A peine arrivée que la demoiselle ramenant les pans de sa robe blanche et grise contre elle, sortit de sa cabine et se dirigea vers le salon. Lorsqu'elle arriva aux portes, elle les poussa délicatement comme si rien n'était. C'est alors qu'elle croisa son regard. Elle ne pu s'y décroché et s'avança pour s'assoir non loin de lui. Elle sentait son regard pesait sur elle et cela la fa&isait rougir. Puis ne supportant plus cette situation elle se leva pour partir mais manque de chance pour l'Egyptienne une serveuse était juste derrière elle quand Nef la bouscula et le verre qu'elle avait sur son plateau tomba sur... Marc Antoine. Misère de misère. Cléopâtre s'approcha de lui et posant une main sur son bras lui dit trsè vite :

Je suis désolée. Je ne voulais pas...

Elle avait relevé ses yeux et malheureusement elle ne pu finir sa phrase subjugué par son regard si ensorcellant.

**marc antoine cassisus** Messages : 80 Date d'inscription : 22/11/2009

Il avait totalement oublié la musique, désormais ce n’était plus qu’un vague bourdonnement qui parvenait à ses oreilles, il avait perdu tout intérêt à ce qu’il entendait sitôt qu’elle avait ouvert les portes du salon. Il avait essayé de contenir sa surprise et son euphorie quand il l’avait vu entrer, tellement magnifique dans sa robe grise et blanche, on aurait dit…une reine, plus que jamais elle ressemblait à la majestueuse reine dont elle portait le même nom. Elle avait l’air étrangement surprise de le voir, mais il ne su pas discerner ce qu’il voyait dans ses yeux, elle semblait être sujette à une kyrielle de sentiments contradictoires, elle non plus ne semblait pas savoir ce qu’elle ressentait à son égard.

Il avait suivit le moindre de ses mouvements depuis qu’elle s’était assise non loin de lui, il savait que c’était mal poli et mal venu d’observer ainsi une femme, mais il ne pouvait pas s’en empêcher, il était inexorablement attiré par elle et ce genre de chose était étrangement difficile à réfuter. Il avait essayé de se concentrer sur le spectacle et de suivre la musique, mais la savoir si prêt et à la fois si loin le rendait nerveux, de temps en temps il sentait son regard sur lui et cela le rendait encore plus nerveux. Même malgré lui il ne pouvait s’empêcher de tourner le regard vers elle, il admirait son profil parfait, se disant qu’elle avait vraiment tout d’une reine ; et il arrivait aussi que leurs yeux se croisent, souvent, bien trop souvent, à chaque fois il détournait la tête et essayait tant bien que mal de faire bonne figure.

Du coin de l’œil il la vit s’agiter sur sa chaise et finalement se lever, cette réaction le peina mais il n’eu pas l’audace de la retenir. Mais elle ne semblait pas avoir vu la serveuse qui se trouvait juste derrière elle, elle la heurta de plein fouet et le plateau de celle-ci vint se reverser sur…lui, il baissa les yeux sur son tee-shirt blanc désormais trempé par ce qui devait être du champagne ou quelque chose de semblable.

Je suis désolée. Je ne voulais pas...

Entre soudain le son de sa voix si près de lui le fit relever la tête, son visage était tout près du sien et il ne su quoi dire, ses yeux s’accrochèrent aux siens et lui enlevèrent tous les mots de la bouche.

Aucune importance, ce n’est pas grave, ça peut arriver à tout le monde. bredouilla t-il.

Cependant il la sentait prête à fuir, à le fuir, il accusa le coup mais refusait de la laisser partir.

Ne part pas !

Il savait qu’il devait sûrement avoir l’air d’un parfait idiot, sa réaction était parfaitement ridicule, qui était-il pour lui demander de rester, ils ne se connaissaient pas et elle avait sûrement des raisons de vouloir le fuir. Il continua de la regarder, elle et seulement elle, comme si il n’y avait plus personne autour, il ne voyait qu’elle, se préparant pourtant à la voir partir, loin de lui.

**Neftys C. César** Messages : 228 Date d'inscription : 08/11/2009

Nephtys non tu ne dois pas rester dans cette pièce. Mais pourquoi il est là... Je te signale que tu ne dois pas le voir c'est marc antoine. Mais euh... Il est mignon ! C'est Marc Antoine ! Et alors , Tu es Cléopâtre pas de Marc Antoine sinon... sinon quoi ? Tu connais l'histoire... ça suffit faut que j'arrête vraiment là ça devient ridicule !!!

Cléopâtre fit retourner son esprit sur le spectacle qui se déroulait devant elle et qu'elle n'avait pas du tout suivit. Elle laissait son regard s'aventurait sur lui puis elle le faisait se rediriger vers la scène craignant de se faire repérer par le si beau jeune homme. Elle sentait son regard sur elle mais dès qu'elle voulait croiser son regard il ne la regardais plus. Elle se demandait simplement si elle ne devenait pas folle et donc se leva.... Et la suite ben la belle renverse un verre sur devinez qui... Marc Antoine bien sur. Elle plongea son regard dans le sien mais elle voulait fuir partir pour ne pas subir de honte. Elle se releva donc précitament mais elle entendit ce jeune homme lui dire de rester. Elle le regarda droit dans les yeux n'osant pas bouger au cas où elle aurait bien entendu. Puis elle se décida et prit les choses en main. Elle voulait une explication et compter l'avoir maintenant et pas dans cent ans. Cléopâtre lui prit la main et l'entraina avec elle en dehors de la salle.

Une fois dehors, elle baissa les yeux et lui lâcha la main. Son contact avait allumé une flamme dans le coeur de la demoiselle qui tentait maladroitement de le cacher. Elle dit alors d'une voix neutre comme si elle arrivait à se contrôler alors que c'est yeux trahissaient son espoir :

Tu voulais que je reste ? Pourquoi ?

Bon d'accord, elle n'y allait pas de main morte mais elle ne tourvait pas une autre façon de faire.

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